Les centrales hydroélectriques et les parcs éoliens continuent de se développer grâce aux obligations vertes

28/09/2020

Ecoener, une entreprise espagnole de production d'énergie, a émis avec succès une obligation verte de 130 millions d'euros pour refinancer des projets éoliens et hydroélectriques aux îles Canaries et en Galice.

Cette première obligation verte mixte émise par une société espagnole donne à Ecoener une structure de capital stable et flexible pour entreprendre de futurs projets de croissance à partir d'une position de force.

Ecoener, spécialiste des technologies renouvelables à long terme depuis 30 ans, construit et exploite des centrales hydroélectriques, des parcs éoliens et des centrales solaires photovoltaïques. L’entreprise dispose d'un total de 130 MW en exploitation, 12 MW en construction et 1 242 MW en développement.

Nous sommes très satisfaits de notre première émission d'obligations, qui confirme la compétitivité et le leadership d'Ecoener et souligne le fait que nous avons atteint un nouveau niveau dans nos capacités de financement, soutenu par d’excellents résultats et un profil financier solide. L'obligation, outre l'adoption par le groupe des meilleurs standards de marché et l'annulation de la dette, nous permet de renforcer notre capital et de soutenir notre future stratégie de croissance.

Luis de Valdivia,
PDG d'Ecoener, dans un récent communiqué de presse.

L'obligation verte d'Ecoener est une obligation senior garantie d'une durée de 20 ans et d'un coupon de 2,35%. Il s'agit d'une obligation verte pionnière en Espagne, grâce à la technologie des projets qu'elle cible qui comprend à la fois l'énergie hydroélectrique et éolienne.

Société Générale a joué un rôle clé dans cette importante opération en tant qu'agent de placement unique.

Nous sommes fiers d'accompagner Ecoener dans cette émission réussie qui sous-tend sa stratégie de croissance durable. Société Générale soutient pleinement la finance à impact positif.
Rui Madeira,Directeur adjoint des marchés de capitaux d’infrastructures chez Société Générale