Les « Notes de Soutien aux projets à Impact Positif - Afrique » : la conciliation de la performance financière et de l'engagement en faveur du développement durable
Les clients privés investisseurs ont souscrit en 2020 pour près de 170 millions d’euros de ces notes structurées innovantes, fruits d’une collaboration entre différents départements de la banque et qui répondent aux enjeux de « Grow with Africa » et de « Finance à Impact Positif ».
Ces solutions d’investissement permettent de promouvoir et de soutenir les « Financements à Impact Positif » qui concernent toute activité produisant un impact positif sur l'un des trois piliers du développement durable (la convergence économique/l'économie, la société, l'environnement), tout en s’assurant que les impacts négatifs potentiels ont été correctement identifiés et gérés.
Pour Hacina Py, Responsable mondiale financement export et Responsable des solutions de financement à impact : « Le fort appétit des clients pour ces produits innovants est une consécration de la stratégie pionnière du Groupe en matière de Financement à Impact Positif entamée en 2017 pour contribuer au financement des Objectifs de Développement Durable définis par les Nations Unies. Le succès de ces produits témoigne également du positionnement de leader en financements export de la banque (2ème au niveau mondial en 2020 et 1er sur l’Afrique - source TXF League tables 2020), avec un ancrage historique en Afrique et d’une expertise éprouvée en matière d’environnement et de structuration des opérations à caractère durable ». Cette coopération s’inscrit parfaitement dans le cadre de la stratégie « Grow with Africa » de Société Générale qui vise à soutenir la dynamique de croissance de ses activités sur le continent Africain en contribuant à la transformation positive et au développement durable en Afrique.
« Les banquiers privés, en forte proximité avec leurs clients fortunés peuvent ainsi expliquer en plus des mécanismes financiers, l’utilité sociétale de la banque en Afrique. Ils ont su créer un engouement pour cette solution engageante qui donne du sens », précise pour sa part Claire Douchy, Directrice des engagements sociétaux et des projets responsables au sein de Société Générale Private Banking (SGPB).
Alors que Société Générale s’engage à contrôler, pendant la durée des placements, ses Financements à Impact Positif grâce à un processus interne rigoureux de gestion des risques environnementaux et sociaux, Claire Douchy souligne que ces solutions d’investissement ont « l’avantage de pouvoir offrir aux clients une traçabilité des engagements pris par la Banque au travers d’un rapport annuel qui leur est envoyé ». Celui-ci comprend l’évaluation indépendante de durabilité des projets soutenus par ces notes, qui est effectuée par l’auditeur indépendant Vigeo-Eiris.
« Conciliant performance financière et engagement, ce produit d’investissement sur-mesure permet surtout aux clients investisseurs de la Banque de soutenir ses projets de financement de l’économie réelle et du développement durable en Afrique», ajoute Isabelle Millat Responsable des solutions d’investissement durable pour les activités de marché de Société Générale.
Les Notes de Soutien aux projets à Impact Positif émises par Société Générale depuis 2017 représentent plus de 1,3 milliard d’euros. Ces solutions d’investissement font partie de l’offre « Finance Durable et à Impact Positif » de Société Générale qui comprend une large gamme de solutions financières innovantes et répond aux besoins des clients émetteurs et des clients investisseurs. Ce domaine mobilise l'ensemble des expertises environnementales & sociales de la Banque.
« Placer près de 170 millions de Notes de Soutien à Impact Positif – Afrique dans les conditions de marché difficiles et peu propices au lancement de nouveaux produits que nous avons connues en 2020, est le signe d’un intérêt client et d’un engagement commercial remarquable. Ce succès est le fruit de la coopération efficace au sein de la banque entre les équipes de Financements Export et de Structuration d’Impact, les Activités de Marchés et la Banque Privée », conclut Isabelle Millat.